(Elle appelle le Procureur de la République, l’INF et des bonnes volontés au secours)
Au Bénin, malgré la lutte acharnée contre les violences faites aux filles et aux femmes, certaines personnes s’adonnent encore à ces pratiques. En plein coeur de Cotonou au Bénin plus précisément à Agontinkon, une dame fait objet de harcèlement de tous genres.
Tout serait parti de la demande de la vente d’un bien familial de la dame. Une proposition faite par un monsieur très connu du quartier. Une fois la proposition faite, la dame aurait refusé. Mais le Monsieur insiste et lui propose une autre maison en échange à Abomey-Calavi si elle arrivait à céder au Mr. Mais la dame n’a toujours pas accepté. C’est ainsi que les problèmes ont commencé.
La dame raconte que le monsieur la traite de tous les noms : prostituée, menaces verbales et voies de fait, associations de malfaiteurs, intimidations, insultes, diffamations, charlatanisme, violences psychologiques et morales.
Dépassée par la situation, la dame se tourne vers le commissariat du 8ème arrondissement de Cotonou. Mais, elle n’a pas eu gain de cause. Elle va loin en saisissant l’Institut national de la femme (INF) de la présidente Huguette Bokpè Gnacadja et le procureur de la République.
Le Monsieur aurait dit qu’il dispose de tous les moyens pour vaincre la dame. C’est pourquoi, la dame a jugé bon d’appeler au secours des personnes de bonnes volontés pour qu’elle puisse avoir gain de cause. Et surtout l’ INF qui est très connu pour gérer les cas de ce genre .
B.K