La scène s’est passée en juin 2013 non loin de l’église St Jean de Cotonou. Une dame mariée et mère de plusieurs enfants a l’habitude de se lever tôt autour de cinq heures du matin pour puiser de l’eau.
La scène s’est passée en juin 2013 non loin de l’église St Jean de Cotonou. Une dame mariée et mère de plusieurs enfants a l’habitude de se lever tôt autour de cinq heures du matin pour puiser de l’eau.
Le propriétaire, un obsédé sexuel de vieille guimbarde, a réussi à attraper sans précaution les seins de la femme à son locataire. Surprise par cet acte, la dame lui assène un coude pour essayer de le dissuader. Malheur pour elle et son époux. Le propriétaire conscient que la dame allait se plaindre à son époux de ce comportement peu recommandable, il se précipite dans son salon et prépare le préavis d’expulsion du couple.
Le mari locataire se pointe à la porte du propriétaire pour lui demander des comptes sur son comportement vis-à-vis de sa femme au moment où elle puisait de l’eau. Le propriétaire en bon espiègle lui brandit le préavis et demande au couple de plier bagages. La dame vexée, a fait sa valise et est partie avec ses enfants. Son mari est resté quelques jours dans la maison pour récupérer leur caution de location.
Pour ignorance du droit, ce couple s’est fait rouler dans la farine par un propriétaire passible de viol et autres abus d’autorité et trafic d’influence de femme d’autrui.