Elles sont des étudiantes en médecine, infirmières, sage-femme, agent de santé seraient victimes de harcèlement sexuel ou de viol sur leur lieu de travail par leurs collègues masculins. Le syndicat national des praticiens hospitaliers alerte sur le phénomène.
Les victimes préfèrent rester anonymes et n’osent pas porter plainte. Il s’agit d’actes de harcèlement sexuel qui se déroulent généralement à un moment où elles sont seules avec leur responsable ou durant des gardes ou encore lorsqu’elles doivent passer des examens. « C’est généralement lors d’un moment où elles sont seules avec leur responsable, ou durant des gardes, ou lorsque qu’elles doivent passer des examens, on leur dit qu’il faudrait des faveurs sexuelles contre des notes ou des épreuves ou bien pendant des périodes de stage où elles doivent faire objet de notation donc oui des fois il y a des pressions sur elles. Je ne vous donnerai pas de chiffre, mais je vous dirai qu’elles sont nombreuses », raconte Docteur Tsholenyanou, secrétaire général du syndicat du syndicat national des praticiens hospitaliers.
ardes ou encore lorsqu’elles doivent passer des examens, rapporte la radio nationale. Cette faveur leur est demandée, a dénoncé le secrétaire général du syndicat national des praticiens hospitalier. Et certains se demandent si ce phénomène se passe -t-il aussi au Bénin voisin comme c’est le cas au Togo.
M.A.
