À 43 ans, ancien directeur de l’ensemble artistique et culturel des étudiants à l’université nationale du Bénin – UNB (actuelle université d’Abomey-Calavi), ancien Secrétaire général du festival culturel des clubs UNESCO universitaires de l’Afrique de l’ouest (FESCUAO), militant politique ayant participé activement à la campagne présidentielle de 1996 sur le front universitaire aux côtés de l’ancien Président feu Général Mathieu Kerekou, ancien leader d’organisations et réseaux de jeunes au niveau national et international, ancien fonctionnaire international de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), expert en développement et participation des jeunes, très au fait des relations internationales et avec une maîtrise de la géopolitique mondiale surtout dans l’espace francophone, disposant d’une légitimité locale en tant que Conseiller Communal élu dans son arrondissement natal Gohomey (Commune de Djakotomey), Daniel Edah est le Président du parti politique d’inspiration social-démocrate Mouvement pour la Prospérité Solidaire (MPS) et Candidat à l’élection présidentielle de 2016 en République du Bénin avec la vision d’un Benin économiquement prospère et socialement stable. Il a opté pour une politique de vision et non de personnes. Se refusant toute opposition à un individu et déterminé à mettre fin à la gouvernance d’exclusion actuelle marquée par les affaires, la corruption et le chômage des jeunes doublé de concours frauduleux, etc., Daniel Edah n’est membre d’aucune des alliances pro et anti Yayi ou associées. Son alliance, se plait-il à affirmer, c’est le Bénin, le pays pour lequel il a courageusement démissionné de l’OIF.
Avec la foi en Dieu qu’il dégage et le courage qui le caractérise ainsi que sa détermination à lutter par l’exemple contre la corruption, à créer les conditions durables pour l’emploi des jeunes et l’autonomisation des femmes et à promouvoir la gouvernance inclusive, Daniel Edah pourrait bel et bien être l’alternative pour redonner espoir aux béninois actuellement confrontés à la pauvreté et au chômage en même temps qu’ils sont très inquiets par rapport à un éventuel affrontement entre les blocs antagonistes en constitution.