Dégel de la crise au sein de la communauté musulmane de Porto-Novo : Patrice Talon valide le choix de Karim da Silva et ramène la paix 

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La crise qui secouait la communauté musulmane de la mosquée centrale de Porto-Novo a trouvé une issue apaisée grâce à l’intervention magistrale du président de la république, Patrice Talon. Par son leadership éclairé, son sens du dialogue et son autorité naturelle, le chef de l’État a une fois encore démontré qu’il était non seulement un fin négociateur, mais aussi un véritable père de la nation, garant de l’unité et de la stabilité du pays.

Face aux tensions nées de la désignation et de l’intronisation du nouvel imam, Abdou Samadou Alalouko, Patrice Talon a su, avec une dextérité politique remarquable, ramener la paix. En recevant ce mercredi 26 mars à la présidence les représentants des deux camps opposés, il a su trouver les mots justes, ceux qui calment, qui unissent et qui inspirent confiance. Sous son impulsion, un accord a été scellé, mettant un terme définitif aux divisions.

Désormais, toute la communauté musulmane de Porto-Novo reconnaît Abdou Samadou Alalouko comme l’imam légitime, succédant à feu Houzeifat Azmat. Même le camp contestataire, qui, dans un premier temps, remettait en question cette nomination, a fini par s’incliner devant l’évidence : le choix du patriarche Karim Urbain da Silva était juste, éclairé et porteur d’avenir.

Karim Da Silva, un visionnaire au service de la cohésion sociale

Si le président de la république, Patrice Talon a su jouer son rôle de médiateur avec brio, c’est aussi parce qu’il s’est appuyé sur l’intuition et la sagesse d’un homme qui, depuis des décennies, façonne avec minutie l’équilibre social du Bénin en général et celui de la communauté musulmane de la capitale en particulier : le patriarche Karim Urbain da Silva.

Véritable boussole morale, ce nonagénaire à l’intelligence stratégique redoutable est un homme dont l’autorité transcende les générations et les communautés. Son expérience et sa connaissance profonde des dynamiques sociales lui permettent d’anticiper les crises avant même qu’elles n’éclatent. Il est, pour beaucoup, un sage dont les conseils sont des repères inébranlables dans la gestion des affaires communautaires.

C’est sous son impulsion que la désignation d’Abdou Samadou Alalouko a été opérée, un choix fait avec discernement et dans le respect des valeurs et des traditions. En validant cette décision, le président Patrice Talon a renforcé l’autorité du patriarche, lui conférant une légitimité incontestable.

Une alliance entre modernité et tradition pour un Bénin uni

Cet épisode illustre à merveille la complémentarité entre un leadership moderne, incarné par Patrice Talon, et une sagesse traditionnelle, représentée par Karim Da Silva. Ensemble, ces deux figures emblématiques ont su montrer que gouverner un pays comme le Bénin nécessite à la fois la rigueur d’un chef d’État visionnaire et la finesse d’un guide communautaire respecté.

La paix et l’unité sont désormais rétablies, grâce à une stratégie où la raison a triomphé des passions.

Par cet acte, Patrice Talon prouve encore une fois qu’il est un président proche de son peuple, soucieux du vivre-ensemble et doté d’un sens du devoir hors du commun. Son intervention, saluée de toutes parts, rappelle que le Bénin est entre les mains d’un homme dont la vision et la sagesse dépassent les contingences politiques.

Quant à Karim Da Silva, son rôle de gardien des traditions et de protecteur de la paix sort encore renforcé de cette séquence. Comme le souligne un dignitaire local : « Cet homme voit l’avenir comme un livre ouvert ». Et une fois de plus, il avait vu juste.

Fréjus MASSIHOUNTON