(«Nous sommes dans un pays démocratique et chacun est libre de faire ce qui lui convient pourvu que cela ne porte entorse aux lois de la république», dit-il)
La suscitation de candidature aux élections au Bénin n’est pas chose nouvelle. Elle existe avant l’avènement du système partisan. Joint au téléphone suite aux informations relayées notamment sur des réseaux sociaux impliquant l’honorable honoraire El Hadj Yacoubou Malehossou sur les mouvements de suscitation de candidature à l’élection présidentielle de 2026, il confie n’avoir jamais interdit ou mis en cause lesdites suscitations de candidature.
Faut-il le rappeler, la candidature de El Hadj Yacoubou Malehossou aux législatives de 2007 a été suscitée par la population de la 23 ème circonscription électorale qui avait exigé à l’ancien parti Renaissance du Bénin de positionner El Hadj Yacoubou Malehossou comme candidat à la députation. La suite, l’honorable El Hadj Yacoubou Malehossou a fait deux mandats, mais au cours de son deuxième mandat, il a fait savoir à ses collègues qu’il allait déposer les armes en politique.
Selon El Hadj Malehossou, une fois que les suscitations de candidature ne viole pas les lois de la république , des mouvements et associations ont la liberté de susciter le candidat de leur choix et qui ils souhaitent accompagner pour briguer la magistrature suprême en 2026. Donc, Nous sommes dans un pays démocratique et chacun est libre de faire ce qui lui convient pourvu que cela ne porte entorse aux lois de la république
El Hadj Yacoubou Malehossou n’a donc pas interdit la suscitation de candidature aux jeunes qui ont voulu faire connaitre leur choix avant 2026, comme l’ont fait croire certains.
L’He honoraire El Hadj Yacoubou Malehossou invite les uns et les autres au maintien de la paix gage de la quiétude qui caractérise le peuple béninois. D’ailleurs sa fondation, la Fondation Malehossou prône la paix, l’amour et le développement. Trêve donc de polémique.
Pape B.T.