(La dame a même passé la nuit du mardi sous le toit conjugal, selon les informations de ‘’Les 4 Vérités’’)
Il y a trois (03) mois, un enseignant de l’université d’Abomey-Calavi a été condamné avec sursis pour une affaire de « violence conjugale et voie de fait »: Les faits remontent à septembre 2021. L’enseignant et sa femme ne se sont pas séparés. L’information qui circule dans ce sens est de l’intoxication.
« Errare humanum est, perseverare diabolicum » dit un adage latin qui signifie : « L’erreur est humaine, persévérer [dans son erreur] est diabolique ». Autrement, « C’est le propre de l’être humain de se tromper ; seul l’insensé persiste dans son erreur. »
En effet, selon les réseaux sociaux, « après la libération de son mari, la femme bastonnée aurait quitté le domicile conjugal avec sa fille de 2 ans ». Cette information qui circule est du fake news. Elle n’est pas confirmée. Les 4 Vérités est allé à la source.
Selon les précisions obtenues des proches du couple, depuis le retour à la maison du mari, il ne lève plus la main sur sa femme. Malgré les caprices de cette dernière. L’atmosphère était tendue de jour en jour. Et l’homme a décidé de quitter la maison pour aller louer ailleurs, précisent nos sources. Suite à l’intervention de certaines organisations non gouvernementales, l’homme a revu sa décision.
Le couple est donc toujours ensemble. Et la mauvaise nouvelle pour ceux qui riaient déjà et s’en moquaient, la femme a passé la nuit du mardi au mercredi 26 janvier sous le toit conjugal. Elle n’a donc pas été prise en charge par une ONG à Zinvié, selon les informations qui circulent dans les réseaux sociaux. L’enseignant de l’Uac et sa femme sont donc toujours ensemble. Ils ne se sont pas séparés.
On se rappelle, dans une vidéo filmée par la fille de 11 ans du couple, on voit l’enseignant asséner des coups à son épouse. L’époux a été déposé en prison. Des associations de défense des droits humains et de la femme se sont saisies du dossier. Le 28 octobre 2021 le mari professeur assistant de droit a été condamné à 18 mois de prison avec sursis et une amende de 500.000f pour »violence conjugale et voie de fait » par le tribunal de première instance de deuxième classe d’Abomey-Calavi.
La Rédaction