L’ Académie Nationale des sciences arts et lettres du Bénin ( Ansalb) était vendredi dernier en assemblée plénière de l’année 2024. Une assemblée au cours de laquelle, elle a procédé à l’évaluation du rapport d’activités de l’année 2024.
Après une année pleine d’activités, l’ Ansalb a jugé indispensable de faire une pause pour évaluer ses actions au cours de l’année 2024. Pour se faire, elle a planifié dans son Plan de travail annuel (PTA) et exécuté des activités dont le rapport global au 31 décembre 2024 rend compte en six parties. Il y a l’élaboration du PTA, les moyens de mise en œuvre, les relations extérieures, point des activités réalisées au 31 décembre 2024 et les résultats obtenus.
Quant à la première action, il a été procédé selon le secrétaire perpétuel de l’ Ansalb, Michel Bokol à l’élaboration des activités du PTA par les commissions permanentes, les grands programmes et l’institution d’excellence ( le Cesame en l’occurrence). La seconde action a été de les présenter en assemblée générale pour validation pour ne citer que celles-là.
Pour ce qui est des relations extérieures, l’Académie a joué un rôle actif dans le développement des relations scientifiques en établissant avec les académies étrangères des relations pouvant se traduire par la création de structures communes , par des accords de coopération et d’échange de savants par l’organisation de colloques ou par la rédaction en commun de rapports, assurant la représentation du Bénin dans les institutions scientifiques ayant des missions et objectifs similaires, notamment le Conseil International des sciences (ISC) etc…
Sur le plan national, régional et international, l’ Ansalb a noué des partenariats de coopération avec ses homologues du Nigéria, du Maroc, du Sénégal, de la France, de la Belgique etc….
Pour le président de l’ Ansalb, Nazaire Padonou, statutairement, c’est au cours de l’assemblée plénière que le bureau exécutif est tenu de présenter un rapport. A l’en croire grâce au financement de l’État, l’ Ansalb a fait pas mal de choses. Leurs différentes structures ont fonctionné de façon régulière.
Pour le président de l’ Ansalb, Nazaire Padonou, statutairement, c’est au cours de l’assemblée plénière que le bureau exécutif est tenu de présenter un rapport. A l’en croire, grâce au financement de l’État, l’ Ansalb a fait pas mal d’activités . Les différentes structures ont fonctionné de façon régulière. La participation de l’ Ansalb aux événements aussi bien au Bénin qu’à l’étranger a été effective.
Au regard de tout ceci, le professeur Nazaire Padonou pense qu’il y a encore des choses à faire parce que tout n’est pas rose. Il reconnaît que dans le rapport moral, il y a un dysfonctionnement.
Le secrétaire perpétuel de l’ Ansalb Michel Boko a, pour sa part,souligné que les résultats de qualité l’ont marqué. Ce qui l’a le plus marqué, c’est le programme « flore ». » On est en train de rédiger entièrement les documents scientifiques sur les groupements des associations comment mettre ensemble la médecine moderne et traditionnelle. Si nous n’avons pas une bonne connaissance de notre flore , comment nous pouvons l’utiliser en phytothérapie. Ces travaux de l’ Ansalb sont ceux qui répondent à des objectifs de développement », a-t-il déclaré
Boniface KABLA
