Nul ne saurait dire avec une quelconque précision les motifs et conditions des causes de la mort de ce jeune homme d’une trentaine d’années dont le corps a été découvert, le week-end dernier, au bord d’une mare, dans un quartier situé à la périphérie de la ville de Parakou.
La découverte de son corps sans vie, et ligoté des mains et de jambes avec plusieurs blessures font penser à une mise à tabac, pour tentative d’acte criminel. D’ailleurs certaines rumeurs, font état, de ce qu’il aurait réussi à entrer par effraction dans l’arrière -cours d’un domicile privé près à procéder à un cambriolage. D’autres insinuent plutôt la thèse d’un cas de règlement de compte, son téléphone portable, ses chaussures et une torche étant retrouvés sur les lieux où le corps a été abandonné. Pendant ce temps l’on apprend que l’homme serait réputé et reconnu comme un récidiviste et habitué de l’univers carcéral.
Avant sa disparation le défunt menait une vie de famille paisible, entouré de son épouse et de deux petits enfants, dont une petite fille âgée de moins d’un mois. L’on le reconnaît dans son quartier pour ses multiples absences régulières de son domicile, pour « raisons de services « auprès d’une entreprise étrangère basé dans la Donga , spécialisée dans la construction d’infrastructures routières. Sans attendre tout
Ibrahim Yarou DJIBRIL (Coll)