La dame placée en garde à vue suite à une bagarre au domicile d’une journaliste d’une grande chaine de télévision admise à la retraite est libre de ses mouvements. Elle est libéré après avoir payé une amende, apprend-on de sources concordantes.
Présentée jeudi 10 novembre 2022 au procureur du tribunal de première instance de première classe de Cotonou, elle a été mise sous convocation après avoir remboursé les dépenses effectuées par la plaignante pour ses soins à l’hôpital. Le webactiviste C.H. S. citant une source rapporte qu’elle aurait payé une amende de 500.000 FCFA après qu’un règlement amiable aurait été trouvé avec la plaignante. Cette dernière ne travaille pas à la télévision nationale. Elle est l’amie de la journaliste de cette chaine au domicile de laquelle la bagarre a eu lieu.
La bagarre a opposé la plaignante et la dame de la télévision placée en garde à vue au domicile d’une journaliste à la retraite qui relate les faits.
(…) ne s’est jamais battu avec quelqu’un ; elle donne la vraie version des faits
Chers tous,C’est avec un grand regret que J’ai suivi au même titre que vous tout ce qui a été raconté sur mon compte et qui n’est que pur mensonge.
Je ne me suis JAMAIS bagarrée avec quelqu’un comme il a été Indiqué. J’ai pas ce temps et J’ai pas été éduquée pour. C’est vrai qu’il existait une situation de calomnie entre deux dames (l’une de l’ORTB et l’autre n’appartenant pas à l’office) unies par une amitié d’environ 40 années. Mais l’une qui se dit plus maligne que l’autre ne fait que jeter de l’opprobre sur ses amies proches. J’ai alors décidé de les réunir car une amitié datant de 40 ans est sacrée. C’est ce que moi je me disais mais manque de peau pour moi, celle que j’ai invitée et qui avait aussi raconté des énormités sur moi était venue sur les lieux sur pieds de guerre et ne voulait pas lâcher du lest. Elle ne reconnaissait aucun fait à lui reproché. Et c’est au moment où l’autre a décidé d’appeler des témoins des calomnies que la dame gardée à vue actuellement a jeté de l’eau dans son visage et leur bagarre a commencé.
J’étais dans un fauteuil, quand ça a commencé et comme J’ai commencé par voir du sang gicler de la tête de l’une d’elle, j’ ai couru dehors appeler les conducteurs de zem pour les aider à se séparer.
La victime a reçu 5 sutures au crâne, Elle a été mordue à l’avant bras droit et reçu beaucoup de coups sur la poitrine. N’eut été la vigilance des zem de Menontin la victime serait six pieds sous Terre aujourd’hui. Et c’est la victime qui est allée porter plainte au commissariat et l’autre a été gardée à vue. Voilà en réalité ce qui s’est passé ».
S.E.