Komi Koutché est reconnaissant au Président de la République, leader charismatique des Fcbe, Boni Yayi. Après l’élection du bureau de l’Assemblée nationale, il lui manifeste sa gratitude. C’est grâce à Boni Yayi que le jeune Komi Koutché a titillé son « papa » Adrien Houngbédji.
Dans un message, après l’élection du Président de l’Assemblée nationale, KK remercie Boni Yayi qui a porté son choix sur sa modeste et jeune personne. La candidature de KK au poste de Président de l’Assemblée nationale est la volonté d’une personne. « Tout ceci n’aurait pas été possible sans un homme le Président Boni Yayi que je tiens à remercier ici très sincèrement, qui depuis 2006, a travaillé à démystifier les compartiments de gestion de l’appareil de l’Etat en rajeunissant de façon générale l’appareil de gouvernance ce qui permet à la jeunesse de savoir qu’elle peut s’essayer et pouvoir véritablement tester ses capacités pour donner l’exemple », affirme le ministre Komi Koutché.
Le ministre K.K., ne considère pas sa non élection comme un échec, mais une expérience. C’est une expérience le chef de l’Etat et l’ensemble des députés de la mouvance présidentielle ont voulu que le choix soit porté sur lui, plus jeune député pour pouvoir faire cette expérience, dit-il.
A la jeunesse, K.K. conseille et donne l’objectif de ses combats: « Mes combats ont un objectif d’intérêt général parce que lorsque l’on est né que l’on a été à l’école, on doit se dire que la nation nous a tout donné et qu’on doit lui retourner l’ascenseur. Oser l’avenir parce que comme vous le savez notre jeunesse a besoin de prendre conscience et de croire en elle-même et de savoir que les solutions aux problèmes de la jeunesse ne sont pas dans la rue mais sont plutôt dans sa capacité à pouvoir oser à pouvoir savoir que comme l’ont dit les amis de Magic système qu’on peut quitter Anoumabo et venir habiter les deux plateaux »
Le ministre Komi Koutché a aussi tenu à remercier tous les députés qui ont accompagné cette bataille. A leur endroit, il leur dit que « c’est le moment de se mobiliser et travailler véritablement pour le compte de notre démocratie au côté des autres forces politiques ».
Par ailleurs, Komi Koutché a félicité son challenger Me Adrien HOUNGBEDJI qu’il appelle affectueusement « mon cher papa », car dit-il « je suis son fiston ». Il lui souhaite « une bonne chance » et lui garantie son soutien par tous les moyens ainsi que le soutien de toute l’équipe à laquelle il appartient à savoir les FCBE. « Qu’on le veuille ou non qu’on soit de l’opposition ou de la mouvance, c’est d’abord le pays qui compte si l’on est sincère dans la politique et si le pays est notre dénominateur commun, je pense que nous devons avoir un point de convergence à un moment donnée », explique –t-il.
A ceux qui veulent savoir si Komi Koutché va siéger ou continuer au gouvernement, il répond : « je vous dirai de laisser le temps pour faire constater la dernière décision qui sera prise. Comme vous le savez bien évidemment c’est vrai j’ai mes choix mais ma volonté n’est pas exclusive et donc en son temps vous serez au courant du choix qui sera fait. Je peux siéger comme je peux ne pas siéger, comme je peux ne pas siéger et ne pas être au gouvernement. La nation est grande ça dépendra des options qui au moment de faire des choix seront les meilleures pour je puisse être le mieux au service de ma république », dit-il.
L’intégralité des propos du ministre Komi Koutché
« Je n’ai pas d’état d’âme dans la mesure où la vie est un projet et chaque étape de la vie requiert ses expériences je n’ai pas de combat personnel que je mène, tous les combats que je mène ont d’abord un objectif d’intérêt général et de deux oser l’avenir
Mes combats ont un objectif d’intérêt général parce que lorsque l’on est né que l’on a été à l’école, on doit se dire que la nation nous a tout donné et qu’on doit lui retourner l’ascenseur. Oser l’avenir parce que comme vous le savez notre jeunesse a besoin de prendre conscience et de croire en elle-même et de savoir que les solutions aux problèmes de la jeunesse ne sont pas dans la rue mais sont plutôt dans sa capacité à pouvoir oser à pouvoir savoir que comme l’ont dit les amis de magic système qu’on peut quitter anoumabo et venir habiter les deux plateaux. Donc moi je travaille véritablement à démontrer que on peut quitter un petit village de BANTE et prétendre un jour être la deuxième personnalité de l’état. Tout faire pour que tout autre jeune appartenant à ma génération et à celle qui nous suit puisse savoir que c’est possible qu’il n’y a pas de complexe à avoir surtout quand on est jeune surtout quand nous vivons les réalités d’aujourd’hui qui ne sont pas les mêmes que celles de nos parents. Tout ceci n’aurait pas été possible sans un homme le Président Boni Yayi que je tiens à remercier ici très sincèrement, qui depuis 2006, a travaillé à démystifier les compartiments de gestion de l’appareil de l’Etat en rajeunissant de façon générale l’appareil de gouvernance ce qui permet à la jeunesse de savoir qu’elle peut s’essayer et pouvoir véritablement tester ses capacités pour donner l’exemple. Pour ceux qui sont encore là complexés à parler d’expériences, je crois qu’ils font partie d’une époque dépassée, il n’y a pas une école d’expérience elle s’acquiert à l’épreuve de la pratique c’est ça la vérité.
Vous me demandez si après cet échec qu’est-ce que je pense faire? Moi, je ne considère pas ça comme un échec comme je viens de vous le dire tout est expérience dans la vie. Pour moi c’est une expérience le chef de l’Etat et l’ensemble des députés de la mouvance présidentielle ont voulu que le choix soit porté sur moi entant que plus jeune député pour pouvoir faire cette expérience. Ils m’ont accompagné, je suis allé jusqu’au bout. Je suis revenu avec un résultat honorable. Pour moi c’est un essai. Un essai n’est pas un échec ça me permet de faire un repli tactique pour aller tirer les leçons de ce parcours que je viens de faire et de repartir pour l’assaut final. Parce que nous avons encore l’avantage du temps quand on est jeune. Globalement je tiens à remercier tous les députés qui ont accompagné cette bataille que nous avons menée et leur dire que c’est le moment de se mobiliser et travailler véritablement pour le compte de notre démocratie au côté des autres forces politiques. Je tiens encore une fois ici à féliciter Me Adrien HOUNGBEDJI mon cher papa comme je l’appelle je suis son fiston tout en lui souhaitant une bonne chance et lui garantissant mon soutien par tous les moyens ainsi que le soutien de toute l’équipe à laquelle j’appartiens FCBE. Qu’on le veuille ou non qu’on soit de l’opposition ou de la mouvance, c’est d’abord le pays qui compte si l’on est sincère dans la politique et si le pays est notre dénominateur commun, je pense que nous devons avoir un point de convergence à un moment donnée
Vous me demandez si je dois siéger ou je dois continuer au gouvernement je vous dirai de laisser le temps pour faire constater la dernière décision qui sera prise. Comme vous le savez bien évidemment c’est vrai j’ai mes choix mais ma volonté n’est pas exclusive et donc en son temps vous serez au courant du choix qui sera fait. Je peux siéger comme je peux ne pas siéger, comme je peux ne pas siéger et ne pas être au gouvernement. La nation est grande ça dépendra des options qui au moment de faire des choix seront les meilleures pour je puisse être le mieux au service de ma république ».