Ce samedi, la promotion 97/98 d’étudiants du département de Géographie et aménagement du territoire d’alors à l’Université nationale du Bénin aujourd’hui UAC était à l’honneur à Cotonou.
Ils sont venus des quatre coins du Bénin. Deux de leurs pairs Joseph Ahrin, aujourd’hui professeur certifié d’histoire-géographie et Boni Gratien, enseignant à l’Institut de Géographie à l’Uac constituent le moteur de ces retrouvailles qui a commencé d’abord sur les réseaux sociaux. Ce samedi à Cotonou, ils sont une cinquantaine à prendre le pot de fraternité à la villa de l’Etoile rouge à Cotonou, poser pour des séances photos dans une ambiance bon enfant.
L’émotion de se retrouver après de nombreuses années, de se remémorer, les aventures d’étudiants vécues au campus d’Abomey-Calavi, de faire connaissance, parler du passé, du présent et de l’avenir, tous les ingrédients étaient réunis ce samedi pour que la fête soit joyeuse et elle le fut.
1997-2017, vingt ans après, les retrouvailles. Plusieurs cadres sont sortis de cette promotion 97-98 et sont disséminés dans tout le Bénin, du nord au sud et de l’est à l’ouest. Certains sont aussi à l’extérieur. Pourtant installé aujourd’hui à Genève, Gérard Kegué ne s’est pas fait conter ces retrouvailles. Malgré la distance qui les sépare, ils se sont donc donné rendez-vous à Cotonou pour la première édition de ces retrouvailles. Le comité d’organisation composé de Gabin Tchaou, Bénédicte Tchokpon, Josiane Foundohou et Joseph Ahrin a mis les petits plats dans les grands pour réserver de bons moments à ces cadres qui font la fierté de la promotion 97-98. Embrassades à l’accueil et à l’intérieur de la salle de fête bien décorée, la bonne ambiance y était.
Après les présentations, tous ont posé pour la photo souvenir, avant de s’éclater et de partager un délicieux repas du comité d’organisation. Le vin a aussi coulé à flots, grâce à Sylvain Akiyo. Ce samedi, cette famille de géographes (plusieurs d’entre eux sont devenus un peu plus ronds avec les années !) a passé un moment historique.
L’ambiance était fantastique. Des pas de danse entremêlés de cris de joie et autres histoires ; ce n’est que dans l’après midi qu’ils ont pris congé et de se promettre de se revoir très bientôt.
