Béninoises, béninois,
Mes chers amis, Depuis 1990, nous faisons l’expérience d’une démocratie caractérisée entre autres, par la tenue à bonne date des élections présidentielles et intermédiaires. Pour harmoniser cela avec le développement durable, nos populations ont opté courageusement en 2016, pour la Rupture, dont nous faisons actuellement la difficile, mais nécessaire expérience, pour notre bien être commun depuis bientôt huit ans.
Dans moins de trois ans, c’est-à-dire en 2026, notre peuple et sa jeunesse, seront appelés une fois encore, dans la ferveur populaire et l’épiphanie démocratique, à choisir en toute liberté, le chef de l’équipe qui aura la charge de conduire notre destinée. Faut-il sauvegarder les acquis de la Rupture, tout en veillant à son amélioration, en tenant compte des aspirations profondes des béninois ? Ou faut-il rompre avec elle pour emprunter un autre chemin ? Ma conscience et mes convictions m’autorisent à adhérer à la première option. Il faut oser poursuivre l’œuvre entamée. Le bilan imparfait, à l’étape actuelle des choses, augure d’un avenir prometteur pour tous.
C’est pourquoi je m’engage, mes amis et moi, à rassembler pour faire triompher la tendance Olivier Boko. Le premier parmi les meilleurs produits politiques de la Rupture, capable non seulement de renouveler l’exploit, mais surtout de nous faire gagner. Béninoises béninois, chers compatriotes. Un candidat capable de gagner une élection présidentielle ne tombe pas du ciel. Il n’est pas choisi au pifomètre, ni au moyen de l’émotion. Une opération de cette envergure, ne connaît de succès, que lorsqu’elle est adossée à un certain nombre de critères clés. L’audace et le courage du candidat. Le parcours et l’expérience du candidat. La sociologie du pays et la psychologie du peuple, l’adhésion populaire, l’intelligence politique et le poids des grands électeurs qui le portent.
En tout état de cause, sous tous les rapports, dans le cas d’espèce, en observant tous ceux qui frétillent autour du fauteuil présidentiel de 2026, j’ai l’intime conviction que Olivier Boko reste le seul sur le damier politique capable de nous faire gagner.
Politiquement il est le meilleur.
Sociologiquement il est le meilleur.
Culturellement il est le meilleur.
Mathématiquement il est de loin le meilleur.
Cet atypique fils du destin est une brochette culturelle assaisonnée.
A la jeunesse des quatre coins de notre pays, je voudrais dire, avec foi et détermination, qu’à partir de maintenant, il ne suffira plus seulement de susciter la de soutenir, il faut susciter, soutenir, structurer, huiler, et mettre en branle sur toute l’étendue du territoire national, la machine à gagner. Il faut envahir l’agora avec détermination sans tapage ni provocation comme nous savons le faire. Nous ne sommes pas à notre premier essai. Plébéiens confirmés, nous faisons partie de la race des révolutionnaires capables d’entendre l’herbe pousser et de soulever les montagnes.
Le concept avec lequel nous voulons rassembler pour triompher s’appelle Alliance- Nord. Ce n’est ni un parti, ni un mouvement politique. C’est l’identité politique et symbolique avec laquelle nous avons décidé de manœuvrer en toute liberté, afin de rallier à notre cause les apolitiques que le militantisme traditionnel a dégoûté ou qui s’intéressent à la politique sans être militants de partis.
Vive la Rupture Vive la jeunesse engagée
Vive le Bénin révélé