(«Nous voulons qu’elles excellent à un niveau très important pour rehausser le sport féminin dans notre pays » dixit Théodora Hounsou présidente de First Lady Boxe)
La session féminine First Lady de Boxe d’Aigle Royal Boxing Club de Cotonou présidée par Rombo Togbahoun a tenu une séance spéciale d’entraînement le vendredi 8 mars 2024 à Cotonou. C’était dans le cadre de la célébration de la journée internationale des droits des femmes.
La jeune fille d’aujourd’hui est appelée à être la femme de demain. Partageant cette affirmation, dans le cadre de la commémoration de la journée internationale des droits des femmes les responsables d’Aigle Royal Boxing Club ont organisée une séance d’entraînement à l’endroit des filles afin qu’elles puissent assumer la relève sportive en tant que femme. Le but de cette rencontre selon la présidente Théodora Hounsou est de « rappeler à ces filles qu’elles sont des Amazones, nous voulons qu’elles excellent à un niveau très important pour rehausser le sport féminin dans notre pays ».
Afin que les filles à travers le noble art assume une relève de qualité, Rombo Togbahoun a voulu accompagner les boxeuses dans leur formation, et aussi les aider pour qu’elles puissent se positionner dans les rencontres internationales. « Pour le moment nous essayons de travailler sur leur formation pour que ces filles soient bien compétentes afin qu’on puisse trouver des femmes talentueuses pour quand même en faire une équipe nationale pour les promouvoir à l’intérieur du pays comme à l’extérieur », souligne Jean Marc Medetadji.
Démarrée par les basiques du noble art la séance d’entraînement a duré environ deux heures.« Nous avons rappelé à nos boxeuses comment donner les coups juste après cela on les a envoyées sur le ring », explique l’entraîneur Aristide Kpessou . Les boxeuses doivent faire preuve d’assiduité et d’objectivité, recommande le président Jean-Marc Medetadji. « Elles doivent prendre soin d’eux, être vraiment assidues pour bénéficier des différents enseignements elles doivent être objectifs, le fait qu’elles ont la passion de la boxe c’est une discipline qui demande beaucoup de sérieux. »
Dans le rang des entraîneurs ils souhaitent que ces séances de travail avec les filles soient répétitives afin de rester dans le jeu.
Mireine YAHOUNGO