Depuis quatre ans, la métamorphose de l’économie béninoise est enclenchée par la machine du Nouveau départ. Pour y arriver à cette fin et offrir davantage du travail aux jeunes et à la population, maintes reformes sont engagées. Au ministère du commerce et de l’industrie, ces efforts n’en manquent pas.
Plusieurs initiatives sont donc mises en œuvre au ministère du commerce et de l’industrie pour propulser le secteur privé, moteur de création de la plus-value, de la richesse et par conséquent de l’emploi. Ainsi, diverses et variées sont les reformes entreprises par ce ministère transversal pour faciliter d’une part, l’investissement massif et d’autre part, l’installation des entreprises au Bénin. Au nombre de celles-ci, nous pouvons citer sans être exhaustif, l’ajustement du cadre législatif et la création d’une zone économique spéciale de dix mille (10.000) hectares à Glodjigbé. Ces mesures qui rentrent dans la droite ligne de l’exécution du Programme d’actions du gouvernement visent généralement comme nous venons de le dire, à offrir de meilleures conditions de vie aux populations béninoises et de façon particulière aux milliers de jeunes en quête d’emploi.
En ce qui concerne le cadre législatif, nous notons le vote par l’Assemblée nationale d’un nouveau code d’investissement. Les avantages de ce code sont immenses. Il permet au Bénin de figurer désormais sur la liste des pays à investissements sécurisés. En d’autres termes, cela facilite les investissements étrangers et favorise l’installation des entreprises productrices et créatrice d’emploi et de richesse. « En quatre ans, nous avons agrée trente-six industries dont la moitié produit les produits qui sont déjà en circulation. En quatre ans, nous avons agrée des entreprises d’envergure internationale; je veux parler des entreprises britanniques installées en milieu francophone », dira la ministre Alimata Shadia ASSOUMA au détour d’une émission bilan des quatre années écoulées du régime de la Rupture dans le secteur du commerce et de l’industrie. Pour madame Alimata Shadia ASSOUMA, l’état des lieux du secteur du commerce et de l’industrie est aujourd’hui mieux et reluisant qu’au cours de la décennie 2006-2016. Selon elle, le gouvernement de son chef, Patrice TALON travaille avec rigueur et méthodologie pour apporter des solutions idoines aux maux qui minent le développement du Bénin d’aujourd’hui mais également pour la prospérité.
Roméo TOSSOU