Pléiade inaudible de récriminations et de doutes suite à la concession du port de Cotonou aux mandataires Belges. Notre port selon les pourfendeurs du régime Talon serait devenu un acquis belge d’où les béninois sont exclus de toute participation. Les opposants de mauvaise foi ne ratent aucune occasion de vouer aux gémonies ce mode de gestion. Certains en souffrance humaine psychiatrique très avancée rivalisent d’initiatives avec la jeunesse afin de la monter contre Talon. D’autres sentant la mort politique à leur chevet, se précipitent dans un élan suicidaire dans les ravins de l’oubli collectif de l’histoire, alors qu’ils pensaient mobiliser l’opinion publique contre leur ennemi juré Patrice Talon.
Or, les réformes entamées par Talon n’ont pas pour nom Patrice TALON, mais plutôt DEVELOPPEMENT et PROGRES. Les attaques contre ces réformes ne démontrent que le caractère sournois de certains thuriféraires de l’ancien régime qui, privés de certaines magouilles, ne disposent plus que de leur mauvaise langue pour détruire. Subitement, la jeunesse devient leur cible. Dans leur entendement, mobiliser cette jeunesse contre Talon impactera positivement leur plan de funestes desseins contre un peuple toujours abusé.
Confier le port de Cotonou aux mandataires Belges pour en faire un pôle attractif de flux importants en matière de transport maritime, ne doit plus étonner si l’on sait que les différents modes de gouvernance depuis la conférence des forces vives de la nation, n’ont fait qu’accentuer le déficit budgétaire et aggraver le gouffre financier et économique dans notre pays. Mettant ainsi à mal la compétitivité de cette entreprise publique, qui devrait être un des pionniers de la sous-région vu les différents pays à desservir. Ceux qui glosent aujourd’hui sur Talon, savent que l’ancien mode de gestion ne profitait qu’à une minorité politiquement engagée, ainsi qu’aux dirigeants capables d’ériger des immeubles en moins de 10 mois dans Cotonou. Tous sont pourtant unanimes qu’il faut une thérapie pour conjurer le sort, mais aucun n’accepte que cette thérapie soit mise en place par le régime actuel ; jalousie oblige. Or, ce qu’ils pouvaient souhaiter, c’est que les mandataires blancs ne se transforment en colon au point de raviver les comportements anti coloniaux dans l’esprit des béninois. Qu’ils fassent donc ce pourquoi ils sont là sans aucun complexe de supériorité, autrement, ils apprendront à leurs dépens, car les béninois ne se laisseront pas faire…. notre seul souhait c’est la compétitivité de notre port. Qu’ils soient donc jugés au résultat !
C’est vrai que tout n’est pas rose. Et tout ne peut pas être rose. Tout système a des insuffisances. Le rôle de tous, c’est de travailler à réduire ces insuffisances pour le progrès de tous.
À toute épreuve, c’est l’homme qui conduit les réformes qu’il faut voir. Son amour pour son pays et non son entourage qui, lui, travaille parfois même à le ralentir à travers des frustrations qu’il crée et alimente, histoire de décourager ceux qui ont quand même la ferme volonté d’accompagner le guide. C’est Patrice Talon notre guide dans cette aventure de progrès du pays. L’entourage ne doit pas nous préoccuper malgré certaines humiliations et le mépris.
Aujourd’hui, l’argent distribué aux jeunes pour manifester contre Talon ne doit pas nous ébranler.
L’argent n’est pas éternel, surtout s’il est mal acquis ; plus grave encore s’il l’est sur le dos du contribuable. La belle preuve, les anciens du régime Yayi, en souffrent profondément… Mais n’ont pas encore cerné ce qui leur arrive. Bien qu’ils aient réduit ou diminué le prix de certains immeubles de moitié, voire plus, ils ne trouvent pas preneur. Oui, dans notre pays aujourd’hui des immeubles valorisés à 200 millions sont proposés à 50 millions sans succès. C’est cela la quête de vie. Le fort n’est pas toujours fort. Il a ses moments de faiblesse et de chute. L’idéal pour nous aujourd’hui c’est de travailler sur notre égo surdimensionné afin de répondre à l’appel du père céleste le jour de notre chute. Dans cette dualité ou le bien et le mal se côtoient, seule notre intelligence et le bon sens des choses peuvent nous relever de notre chute. Que ceux qui ont perdu le pouvoir il y a deux ans ne pensent pas qu’un espoir naîtra pour un éventuel retour. C’est Faux !
Le peuple abusé réclame ce qui lui est dû et l’obtiendra au travers des dilapidations diverses de ces mêmes deniers qui ont été détournés. A côté du châtiment suprême, cette dernière éventualité reste encore la meilleure des choses qui puisse leur arriver.
Le Bénin est dirigé spirituellement par des entités irrévocables c’est pourquoi les deniers publics détournés ne servent pas indéfiniment à leurs auteurs.
La Patrie nous interpelle donc !
Travaillons à la beauté des choses !