Le président russe Vladimir Poutine est arrivé en Biélorussie ce jeudi, pour prendre part au sommet de l’Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC). Le sommet de l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) s’est tenu jeudi à Minsk, capitale de la Biélorussie..
M. Poutine a déclaré que l’OTSC s’efforçait d’améliorer les forces collectives de déploiement rapide. Il a souligné que les États membres de l’OTSC, dont la Russie, ne tolèrent le terrorisme dans aucune région du monde.
L’Arménie n’a pas participé au sommet d’une alliance militaire d’anciens États soviétiques dirigée par la Russie, malgré l’appel à l’unité lancé par le président russe Vladimir Poutine.
Le premier ministre arménien, Nikol Pashinyan, n’a toutefois pas assisté au sommet, ce qui semble témoigner de son mécontentement à l’égard de la Russie. L’Arménie s’est appuyée sur le soutien de la Russie dans le passé, mais les relations avec Moscou se sont refroidies après la défaite des Arméniens de souche par l’Azerbaïdjan dans le conflit militaire du Haut-Karabakh.
L’Arménie a déclaré qu’elle n’avait pas l’intention de se retirer de l’OTSC. Cependant, M. Pashinyan n’a pas non plus participé à une réunion au sommet des anciennes nations soviétiques le mois dernier.
—————————————————————————————————————————————————-
Le président Vladimir Poutine signe la sortie de la Russie du traité interdisant les essais nucléaires
Le président russe, Vladimir Poutine, a signé la loi révoquant la ratification du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (TICEN). Cette décision intervient dans un contexte de conflit en Ukraine et soulève des questions sur l’avenir du désarmement nucléaire.
Le président russe, Vladimir Poutine, a pris une décision historique en signant la loi de révocation de la ratification du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (TICEN). Cette action soulève des préoccupations majeures dans la communauté internationale, car le TICEN avait pour objectif de mettre fin aux essais nucléaires et de promouvoir le désarmement nucléaire.
Le TICEN a été ouvert à la signature en 1996, mais il n’est jamais entré en vigueur, car il n’a pas été ratifié par un nombre suffisant d’États, parmi les 44 pays qui détenaient des installations nucléaires à l’époque de sa création. La Russie avait signé le traité en 2000, mais cette récente décision de révoquer la ratification signifie que le pays ne sera plus légalement lié par ses dispositions.
Cette action de la Russie survient dans un contexte de tensions internationales accrues, notamment en raison du conflit en Ukraine. Les relations entre la Russie et l’Occident se sont détériorées, et cette décision de quitter le TICEN ajoute un élément de préoccupation supplémentaire.