Chassez le naturel, il revient au galop ! Les ennemis du sport au Bénin ont repris du boulot. Et leur proie, c’est le ministre Didier Aplogan DJIBODE. Dur à croquer depuis la crise du football qu’il a réussit à régler. Au menu des critiques le passage à la tête du département des sports de M. Aplogan.
Le ridicule ne tue pas. dit l’adage. Et ce n’est pas au Bénin qu’il va commencer par tuer. Les détracteurs du ministre Didier Aplogan devraient le savoir. Fin mai, Didier Aplogan capitalisera deux ans à la tête du sport béninois. Il y a aussi la jeunesse et les loisirs. Le bilan est là.
En football même si le Bénin n’a pas obtenu sa qualif pour la Can 2012, l’histoire ertiendra que c’est sous Didier Aplogan que le Bénin a obtenu sa première qualification à une phase finale de la can juniors. Les Ecureuils juniors étaient à Alger 2013, phase finale de la coupe d’Afrique de leur catégorie.
Les cadets eux sont tombés aux portes de Maroc 2013. Mais plusieurs étaient allés au Brésil pour se faire former. Le résultat est là et porte la touche du ministre Aplogan. Le Bénin a aussi organisé les championnats africains d’athlétisme. C’est une première. Jamais, notre pays n’a abrité une telle compétition. Les retombées sont là et le Bénin était sous els feux des projecteurs.
Depuis bientôt deux (2) ans que le Chef de l’Etat, le docteur Thomas Boni Yayi lui a confié ce département des sports, beaucoup de choses ont évolué. Le sport dans son ensemble a enregistré de bons résultats. Didier Aplogan a su insuffler une nouvelle dynamique dans la gestion de nos fédérations sportives. C’est le plus important au sein de ces fédérations minées par des querelles intestines et autres.
Les résultats sont évocateurs. A moins que les détracteurs du ministre refusent de voir la réalité en face. Nombre de responsables de fédérations estime que pour avoir nommé Didier Aplogan à la tête de ce département ministériel, Boni Yayi a opéré le meilleur choix en remplaçant de Modeste Kérékou dont la gestion avait été décriée.
Le ministère des sports ne se limite pas aux fédérations sportives, encore moins au football. La gestion de la crise qui a secoué le football béninois ne saurait être un élément fondamental pour faire le bilan d’un ministre en deux ans. Didier Aplogan a réussit à trouver la thérapie aux maux du football. Il a fait des propositions qui hier rejetées sont considérées aujourd’hui comme les meilleures. Si je savais, diront certains. Trop tard.
Didier Aplogan n’est pas un novice en sport comme certains. Il était déjà à la tête de la fédération béninoise de volley-ball avant d’être nommé. C’est l’homme qui connait la maison. Déjà conseiller à la communication au président de la république il a des qualités ses qualités d’un sportif fédérateur. Il est aussi et avant tout un homme de défis et d’actions. Et nul n’est souvent prophète chez soi. Pour quelqu’un qui se sacrifie si tant pour la refondation des sports et des loisirs, c’est de l’eau sale que des apatrides pensent lui jeter. Ils ont tiré à terre. Il y a désormais une stabilité au sein des fédérations sportives, même si tout n’est pas rose.
La promotion de la jeunesse, la dynamisation et la promotion de toutes les disciplines, en passant par la formation à la base, Didier Aplogan a un vaste chantier qu’il a ouvert dès son arrivée et avec l’appui du chef d l’Etat, il est en voie de s’achever. Pourvu que le gouvernement et son chef lui donne les moyens.
A suivre.